Dans les terres brumeuses et luxuriantes, une petite tour dverg se dressait, sombre et isolée, protégée par la magie des mages nains. Un viking y était retenu prisonnier, enchaîné par des sorts puissants, mais son esprit demeurait inébranlable. Il savait que son clan viendrait à son secours.
L’alerte fut donnée au village, et en un instant, le clan tout entier se leva pour le sauver. Les forgerons, les archers et les guerriers s’équipèrent, et dans un silence de fer, le clan se mit en marche à travers la brume épaisse, chacun unissant sa force pour la même cause : libérer leur frère.
Au fur et à mesure que le clan avançait, les mages dvergs, conscients de l’approche de l’assaut, lancèrent des sorts de protection. Mais rien n’arrêta les vikings. Leur rage était une force plus grande que la magie. En traversant la végétation dense, ils brisèrent les premières protections avec une efficacité redoutable, détruisant les pièges qui se dressaient sur leur chemin.
Lorsqu’ils arrivèrent à la tour, la bataille éclata immédiatement. Les vikings, hurlant leur défi, se jetèrent sur les mages dvergs sans pitié. Chaque sort lancé par les nains était anéanti sous la puissance des épées et des haches vikings. Les murs de la tour tremblèrent sous la violence des assauts. Aucune magie, aucune défense ne put les arrêter. Chaque dverg tomba, écrasé par la force implacable des vikings.
Il n’y eut aucune clémence, aucun dverg ne survécut.
La tour, tombée sous le poids de leur unité, fut leur victoire. Le clan, épuisé mais triomphant, se regroupa autour de leur frère retrouvé.

Sous un ciel embrumé, les vikings assiègent la tour des brumes, leurs haches frappant les portes anciennes, tandis que des créatures spectrales surgissent de l’obscurité pour protéger leur domaine maudit.
Les mages de la tour des brumes, enveloppés de ténèbres, manipulent les arcanes avec une précision terrifiante, leurs yeux brillants de pouvoir maléfique.

Dans la brume, leur victoire résonnait, indélébile, implacable. Mais la guerre ne faisait que commencer…
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